Râmen de Hakata : la recette du tonkotsu
Les râmen de Hakata et leur fameux tonkotsu, un bouillon laiteux aux os de porc, sont un grand favori au Japon. Retrouvez ici la recette traditionnelle de ce plat emblématique de la préfecture de Fukuoka.
La gastronomie japonaise en images. Spécialités locales, habitudes alimentaires et sélection de recettes.
Les râmen de Hakata et leur fameux tonkotsu, un bouillon laiteux aux os de porc, sont un grand favori au Japon. Retrouvez ici la recette traditionnelle de ce plat emblématique de la préfecture de Fukuoka.
Pour faire ses râmen à la maison, il faut d’abord faire son châshû, du porc braisé servi en garniture des soupes de nouilles japonaises. La recette est ici.
Mini-polémique en France autour de la photo au restaurant. Et pendant ce temps au Japon, tout va bien. Un parallèle culturel s’impose.
Les yakisoba, nouilles sautées à la japonaise, ont un nom qui prête à confusion. Pour remettre les points sur les i, voici leur histoire et leur recette. Et en prime, quelques variantes, dont les yakiudon.
Aujourd’hui, on va préparer des kakis séchés, un délice hivernal très populaire en Asie. Pour cette recette ultra-simple, vous n’aurez besoin que de deux ingrédients : des kakis et de la patience.
Les râmen sont un élément central de la cuisine nipponne. En l’espace d’un siècle, ces copieuses soupes de nouilles sont devenues le plat du peuple, décliné localement de mille façons. Pour s’y retrouver, voici un modeste guide de l’usage des râmen.
Le kaki séché ou hoshigaki est une tradition séculaire au Japon. Suivez-moi dans montagnes du Kansai, où des rideaux de fruits orangés sèchent au soleil d’hiver, offrant un magnifique spectacle.
Au Japon, le kaki est cultivé depuis le 7ème siècle ; il y a tant de variétés qu’on pourrait s’y perdre. Du Jiro au Fuyu, de l’Hachiya au Fudegaki, faisons un point sur les kakis préférés des Japonais.
On associe la cuisine japonaise au cru du sashimi ou au cuit des yakitori. Quelque part entre les deux, on trouve le tataki, qui réunit l’art du cru et du cuit pour un parfait du mi-cuit.
L’oursin ne se mange pas seulement cru. On peut en faire des plats simples et généreux, comme le sauté de cresson et d’oursins de chez Naka-chan, modeste izakaya d’Hiroshima.