Coronavirus : manger sans odorat
Le nouveau coronavirus m’a eue. Et il a aussi eu raison de mon odorat. Alors, manger sans odorat, ça donne quoi ? Eh bien, malheureusement, ça ne donne pas grand-chose.
La gastronomie française en images. Spécialités locales, habitudes alimentaires et sélection de recettes.
Le nouveau coronavirus m’a eue. Et il a aussi eu raison de mon odorat. Alors, manger sans odorat, ça donne quoi ? Eh bien, malheureusement, ça ne donne pas grand-chose.
Pour tout savoir sur le tofu, découvrez Tofu, l’anthologie, mon nouveau livre rempli de recettes du monde entier et de pages reportage en Asie. Vous ne verrez plus jamais le tofu comme un aliment ennuyeux.
Dans certaines épiceries spécialisées et dans les jardins, on peut tomber sur des pousses de bambou fraîches. Vous trouverez dans cet article tous les conseils nécessaires pour apprendre à les préparer.
Si une partie de la glycine est toxique, ses fleurs sont traditionnellement mangées dans le Sud France, en Chine et au Japon, et elles sont très bonnes. Voici de quoi en faire des beignets et des salades.
L’art de la fermentation, livre que j’ai écrit avec Luna Kyung, sera publié aux éditions La Plage le 17 mars 2016. 150 recettes fermentées du monde entier à découvrir.
La courgette trompette est une merveille culinaire rare, hyper-locale et donc méconnue. Sa chair est si tendre qu’on dirait du beurre, sa peau très fine est d’un joli vert pâle et acidulé, et son petit goût de noisette en fait une véritable gourmandise.
Quand les produits niçois rencontrent la cuisine japonaise, ça fait des étincelles. Ou de la tempura de fleurs de courgette : une friture délicate et savoureuse, qui croustille juste comme il faut et ne manque pas de moelleux. Mariage franco-japonais réussi.
Tous les Niçois vous diront que leur mère fait les meilleurs farcis du monde. D’ailleurs, ma mère fait les meilleurs farcis du monde. Voici la recette.
Le Mandoobar, bar à ravioli coréens près de Saint Lazare, propose deux spécialités : ravioli vapeur et tartares. C’est très bon, peu cher et c’est une expérience en soi.
Courez au Dix-Huit, un nouveau bistrot chic mais sans chichi où la cuisine a de l’âme. Le chef philippin Aaron Isip y travaille les saveurs avec brio : c’est très français, subtilement asiatique, et particulièrement bon.