La gastronomie française en images. Spécialités locales, habitudes alimentaires et sélection de recettes.
Pour changer des recettes hors-sujet et des versions de Jacques Médecin et d’Auguste Escoffier, portrait-robot des variantes de la salade niçoise à travers les époques.
Mini-polémique en France autour de la photo au restaurant. Et pendant ce temps au Japon, tout va bien. Un parallèle culturel s’impose.
Aujourd’hui, on va préparer des kakis séchés, un délice hivernal très populaire en Asie. Pour cette recette ultra-simple, vous n’aurez besoin que de deux ingrédients : des kakis et de la patience.
L’oursin ne se mange pas seulement cru. On peut en faire des plats simples et généreux, comme le sauté de cresson et d’oursins de chez Naka-chan, modeste izakaya d’Hiroshima.
« Cuisine ethnique », c’est l’expression du moment. Mais ça ne veut rien dire. Ethnique, exotique, oriental, rappelons quelques définitions.
Une recette typiquement niçoise, facile, délicieuse : les beignets de fleurs de courgettes. Ils sont dorés, moelleux, légers, et servis avec une sauce tomate.
Izumi ressemble à n’importe quel bar à sushi. Sauf qu’on y mange du thon gras, du wagyu, des sardines et des anguilles vraiment exceptionnels pour Paris.
La France manque de poisson. Et mange de plus en plus d’espèces venues de très loin, comme le poisson-perroquet. On ne le mangeait même pas aux Philippines il y a 15 ans.
Yuzu, c’est un formidable petit restaurant de sushi à Nice – un sushiya – comme là-bas. Excellent poisson, chef expert, accueil chaleureux et ambiance sans chichi, on se croirait presque au Japon.
Deux recettes typiquement niçoises pour accommoder les alevins de sardine : l’omelette et les beignets de poutine. C’est très facile et c’est très bon (surtout les beignets).
