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France · Reportages

Où sont passés les bonbons à l’anis ?

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Les bonbons à l’anis n’ont plus le vent en poupe. Il fut un temps où ils étaient considérés comme un classique, et où l’on en trouvait partout. Mais aujourd’hui, rangés parmi les produits locaux ou les bonbons d’antan (comprenez « bonbons de vieux »), ils ne sont plus disponibles n’importe où et leurs formes sont de moins en moins variées. Paradoxalement, le nombre de boissons alcoolisées à l’anis ne fait qu’augmenter. Alors, que se passe-t-il, où sont passés les bonbons à l’anis ?

Je me souviens d’une époque, pas si lointaine, où le bonbon à l’anis se devait d’occuper une place, certes modeste, mais une place tout de même, dans n’importe quel supermarché. Généralement, on le trouvait du côté de la menthe et de la réglisse, parmi les arômes rafraîchissants ; et puis petit à petit, discrètement, le bonbon à l’anis a disparu, sans que personne ne s’en aperçoive.

Alors on vous dira aujourd’hui que si, il y en a : il suffit de chercher les bonbons de l’abbaye de Flavigny. Toutefois ceux-ci sont loin d’être vendus partout, et ils ne représentent qu’un seul type de confiserie anisée alors qu’il en existait autrefois beaucoup plus.

L’anis vert, la petite graine fraîche de Méditerranée

Pour en avoir le coeur net, j’ai mené l’enquête durant trois mois et je peux à présent l’affirmer : le bonbon à l’anis est en voie de disparition. Nous allons tenter de voir comment, pourquoi, et quels sont les derniers specimens rescapés de cette hécatombe. Mais avant cela, penchons-nous sur l’arôme anisé et ses origines, qui nous donneront quelques clés pour mieux comprendre la suite.

Graines d'anis vert © Quentin Gaudillière

Graines d’anis vert © Quentin Gaudillière

L’anis, c’est un bien grand mot dont le sens n’est pas toujours clair ; en effet, des anis, il y en a deux : le vert et l’étoilé. Commençons par l’anis vert, qui vient du pourtour méditerranéen. On l’utilise traditionnellement en Grèce et en Egypte depuis environ 4 000 ans pour son arôme particulier et ses vertus médicinales. C’est une petite plante de la même famille que le fenouil, le persil, la carotte ou la cigüe, les Apiacées. En latin, on l’appellera Pimpinella anisum, ce qui, adapté en français, a donné pimpinelle et même pimprenelle d’Egypte. Ses fleurs sont blanches, ses fruits sont gris-vert et toutes les parties de la plante, des racines à la pointe des feuilles, sont fortement aromatiques.

Cet arôme-là, c’est celui qu’on utilise traditionnellement en France, particulièrement dans le sud ; c’est l’anis au sens où les provençaux l’entendent, le pur, le dur, le vrai, à la fois rafraîchissant et extrêmement doux. On utilise ses graines pour parfumer certains plats et pâtisseries, notamment des beignets et autres navettes. C’est également lui qui est à l’origine des anisettes ancestrales du bassin méditerranéen, de l’ouzo grec au raki turc en passant par la sambuca italienne, sans oublier l’absinthe. Les Grecs et Egyptiens l’ont cultivé très tôt pour ses vertus digestives, ce qui explique pourquoi les anisettes sont initialement des digestifs et non des apéritifs.

La badiane chinoise ou l’anis asiatique

L’un des principaux composants de cet arôme si particulier, c’est l’anéthol. Il est responsable du trouble qui apparaît lorsqu’on verse de l’eau dans une anisette, un phénomène appelé louchissement. Si on laisse la solution reposer, le trouble va disparaître. Et comme l’anéthol a une température de fusion très élevée (21,3°), il suffit de mettre de le mettre au réfrigérateur pour obtenir de jolies petits paillettes nacrées. Mais de l’anéthol, vous n’en trouverez pas sur le marché ; sa vente est interdite aux particuliers et réglémentée par la régie des alcools et distilleries.

Anis étoilé ou badiane de Chine © Quentin Gaudillière

Anis étoilé ou badiane de Chine © Quentin Gaudillière

Ce composant est également présent dans le fenouil et l’anis étoilé ou badiane chinoise. La badiane, appelée 大料 / dàliào en Chine, est visuellement très différente de l’anis vert. Sa forme est reconnaissable entre mille : le fruit est composé de huit carpelles renfermant chacune une graine, disposées en étoile, d’où son nom commun d’anis étoilé.

Les Chinois l’utilisent depuis des millénaires, en médecine comme en cuisine, les deux étant encore plus étroitement liées que chez nous. C’est d’ailleurs aux Chinois que nous avons piqué la recette du pain d’épices, qui en contient ; la badiane apparaît également dans le fameux mélange cinq épices du Sichuan, mélangée au clou de girofle, au piment rouge, au poivre et à la cannelle.

Les huit carpelles de l'anis étoilé © Quentin Gaudillière

Les huit carpelles de l’anis étoilé © Quentin Gaudillière

Son arôme est beaucoup plus puissant que l’anis vert ; moins rafraîchissant, plus lourd, plus entêtant, on passe du registre de la petite plante méditerranéenne à celui de l’épice tropicale. Pourtant les deux anis se ressemblent au goût, et comme les deux produits contiennent de l’anéthol, des petits malins se sont vite aperçus qu’ils pouvaient substituer la badiane à l’anis vert. En effet, venant de Chine, plus précisément du Jiangxi qui produit 90% des 40 000 tonnes annuelles mondiales, la badiane est commercialisée en plus grandes quantités que l’anis vert et elle coûte beaucoup moins cher.

De l’anis dans ton Tamiflu

Enfin, ceci n’est plus tout à fait vrai depuis que l’industrie pharmaceutique a jeté son dévolu sur cette plante. Tout a commencé avec la cousine japonaise de la badiane, appelée シキミ / shikimi, qui est extrêmement toxique mais dont on a extrait un acide, l’acide shikimique, qui est à l’origine de la fabrication du phosphate d’oseltamivir, la molécule active du Tamiflu. La badiane chinoise étant moins chère et contenant le même acide, bingo, la demande a explosé et les prix avec.

Bien avant l’apparition de ce médicament, la badiane a clairement supplanté l’anis vert chez nous, dans presque tout : le sirop d’anis, les bonbons à l’anis – à part les fameuses billes de Flavigny -, les anisettes et notamment le Ricard, le 51 ainsi que tous les autres pastis de Marseille, et même les pâtisseries de nos grands-mères.

Aujourd’hui, si les prix de la badiane sont très hauts pour la Chine, ils restent faibles en comparaison avec ceux de notre petite production artisanale européenne d’anis vert. Mais globalement, en quelques décennies, l’anis est devenu cher alors qu’il ne l’avait jamais été, qu’il vienne d’Europe ou de Chine, et cela a radicalement changé la donne au rayon confiserie. Les alcools et médicaments, étant déjà des produits chers de toutes façons, n’ont pas réellement été touchés par cette hausse de prix. Du côté des bonbons, nous allons faire un état des lieux édifiant.

Du bonbon-médicament au bonbon-plaisir

Traditionnellement, la France est véritablement le pays du bonbon à l’anis. Si l’arôme est très couramment utilisé partout ailleurs dans le monde, on le retrouvera plus volontiers dans les préparations salées et en pâtisserie. La confiserie, c’est notre truc à nous, hérité de notre obsession pour les médicaments sous forme de pastilles, comme on peut le voir avec les remèdes à l’ancienne que sont la réglisse, la sève de pin, le miel et autres. Du bonbon-médicament au bonbon tout court, il n’y a qu’un pas, alors nous avons commencé à faire des bonbons cuits et des gommes à l’anis qui ont connu un franc succès. Rapidement ils sont devenus incontournables et l’anis a trôné près des autres saveurs de l’époque comme l’un des grands arômes du début du vingtième siècle.

Et puis petit à petit, la confiserie a évolué vers le bonbon-plaisir, s’éloignant de plus en plus du bonbon-médicament ; on a quelque peu délaissé les arômes vieillots pour se consacrer à de nouvelles formes accompagnées de nouveaux parfums. On s’est ainsi tourné vers les fruits et le bonbon à la fraise, au citron, à l’orange est devenu une star. Puis, encore plus nettement avec l’arrivée des Tagada et autres Chamallows, classiques aujourd’hui mais qui ont un jour été modernes, le bonbon à l’anis a été cantonné au rayon ‘bonbons de vieux’ avec les autres confiseries à sucer comme les menthes, réglisses, violettes etc.

Anis de Flavigny dans sa boîte rétro © Quentin Gaudillière

Anis de Flavigny dans sa boîte rétro © Quentin Gaudillière

Bonbon de vieux certes, mais toujours présent. Dans mon enfance, toute confiserie digne de ce nom vendait des bonbons à l’anis, qu’il s’agisse de guimauves, de gommes ou de pastilles, sans oublier les fameux bonbons de l’abbaye de Flavigny, plus précisément de Flavigny-sur-Ozerain, en Bourgogne.

L’anis de Flavigny, plus vieux tu meurs

Ces petites boules rondes et blanches, dures comme du béton et parfaites pour se péter les dents quand on est impatient, renferment chacune une graine d’anis vert en leur centre et sont très parfumées. Leur fabrication remonte au VIIIe siècle et leur recette est inchangée depuis 1591 ; Louis XIV, dit-on, en était un grand fan et se baladait toujours avec une boîte d’anis dans sa poche. Leur boîte ovale et métallique emblématique est apparue dans les années 1950, à l’époque ces dragées furent les premiers produits vendus en distributeurs automatiques dans les gares et le métro. C’est la famille Troubat qui seule assure toute la production à l’heure actuelle.

Devenu le bonbon du voyage, l’anis de Flavigny a peu à peu gagné les stations d’autoroutes ; il y règne aujourd’hui en maître, tant et si bien qu’il est devenu une sorte de souvenir, disponible principalement dans des lieux de transit et dans les magasins qui vendent des spécialités françaises à rapporter en cadeau pour les Américains, Japonais et d’ailleurs à peu près tous les touristes.

L’anis de Flavigny jouant sur son image artisanale, traditionnelle et presque passéiste, les fabricants n’ont, avec le temps, pas souhaité modifier sa forme ou sa boîte, considérées comme des marques de fabrique, et ont préféré lancer de nouveaux parfums variés comme la réglisse, le gingembre, la mandarine, la violette ou la rose. Leur production s’est ainsi développée mais leur seul véritable bonbon à l’anis reste une exception.

Du bonbon de vieux au bonbon disparu

Les autres bonbons à l’anis ont eu moins de chance : ils ne sont pas devenus les bonbons du voyage ou les bonbons-souvenirs, ils n’ont pas viré au rayon pharmacie avec le sureau ou la sève de pin ; certains ont disparu purement et simplement, d’autres se sont raréfiés à un point inquiétant.

Bonbons à la badiane de la marque Casino © Quentin Gaudillière

Bonbons à la badiane de la marque Casino © Quentin Gaudillière

Parmi eux, il y avait le bonbon vert clair – vert anis en réalité – ovale à sucer de la Pie qui Chante. Celui-ci s’est tout bonnement évanoui, il n’en reste plus rien à part chez Casino (loin de moi l’envie de leur faire de la pub, mais c’est un fait) dont la marque du magasin s’est empressée de réaliser une copie à la badiane qui n’est pas mauvaise du tout mais de plus en plus difficile à trouver. J’ai parcouru les rayons confiserie des supermarchés de l’enseigne et horreur, dans la plupart d’entre eux, ce bonbon est introuvable ; seuls certains continuent à le vendre.

C’est le même manège avec les petits pois au lard, que l’on vendait un peu partout quand j’étais enfant. Les pois verts sont assez tendres, le lard est formé de petits berlingots rouges et blancs, la saveur anisée est forte et douce à la fois. Ceux-là, il faut se lever de bonne heure pour les dénicher aujourd’hui, et leur prix est souvent absurde, entre 2 et 4 euros les 100 grammes.

Pois au lard à l'anis © Camille Oger

Pois au lard à l’anis © Camille Oger

Du côté des gommes, l’anis seul n’existe purement et simplement plus. On trouve parfois, en cherchant bien, de la gomme arabique aromatisée d’un mélange de réglisse et de badiane, et puis c’est tout.

Moins de bonbons à l’anis, mais toujours plus de boissons anisées

En observant cette disparition progressive, on peut penser qu’à l’heure du bonbon acide, où l’on sort chaque mois une nouvelle version qui pique de la Tagada, du Chamallow ou des Schtroumphs, ces friandises faisaient pâle figure et sont passées du bonbon de vieux au bonbon mort. Pourtant les autres machins vieux comme Hérode type violette, réglisse et autres se portent très bien et ont même tendance à se multiplier. Alors comment expliquer que ces bonbons deviennent trop ringards pour exister, d’autant plus qu’en parallèle, les boissons alcoolisées anisées et le sirop d’anis se trouvent absolument partout, déclinés sous des formes variées ?

Si on tient compte de la multitude de produits liquides anisés, on ne peut pas affirmer que le simple arôme d’anis est démodé. Quand je sonde la population française, tout le monde me répond : « Ah oui, les bonbons à l’anis, c’était bon ça… » C’était ? Et pourquoi c’était ? Pourquoi n’est-ce pas bon au présent ? Parce qu’ils ont peu à peu disparu en raison de leur coût de production et que tout le monde a fini par les oublier, ne les ayant pas sous le nez. C’est un arôme qui s’est effacé sans retentissement, sans protestation, sans douleur.

Aujourd’hui, il faut se rendre dans une confiserie à l’ancienne spécialisée dans les bonbons artisanaux pour en trouver, une station d’autoroute ou un magasin de souvenirs. Et puis il y a quelques tentaives de revival, toujours avec l’horrible connotation « c’est pour les vieux, n’en mange pas à moins que tu veuilles jouer les nostalgiques » : une marque « Bonbons d’autrefois » cuits au chaudron, les propose dans certains supermarchés : ils sont très – trop – verts, plats et très durs, fatalement coupants car les plaques de sucre ont été cassées et arborent des angles dangereux pour la langue du malheureux qui les a enfournés.

Le tragique destin du bonbon cantonné à la nostalgie

L’autre grande nouveauté – qui se doit de ne pas trop sentir l’innovation quand même, on a dit bonbon de vieux – c’est la pastille Vichy à l’anis, fort bonne au demeurant, avec sa texture crayeuse si particulière. La recette est une fois encore à base de badiane, mais la fraîcheur du bonbon reste très agréable et s’approche de l’anis vert.

Sucette arôme pastaga, à l'anis et à la réglisse © Camille Oger

Sucette arôme pastaga, à l’anis et à la réglisse © Camille Oger

Enfin, je suis récemment tombée sur des sucettes que je n’avais jamais vues jusque là, soit disant anciennes, vantées comme « les véritables sucettes marseillaises ». Elles sont rondes et plates, blanches et brunes, et présentent les mêmes arômes mélangés de badiane et de réglisse que le pastis de Marseille. Et franchement, je les trouve trop corsées et assez écoeurantes.

En un clin d’oeil, le tour d’horizon est fini, il n’y en a pas plus en rayon. En bref, l’augmentation du prix de l’arôme naturel d’anis et un changement drastique au niveau de la production et de la distribution ont raréfié ces bonbons, aujourd’hui symboles du voyage en France et de la vieille époque. L’anis est en train de quitter le domaine de la confiserie pour ne plus exister qu’en boisson ou en médicament. Alors, si vous aussi vous souhaitez le retour des bonbons à l’anis, faites-vous connaître, on pourrait former un club.

Tags: boissonbonbonsChinegoûtpharmacopéeplantes

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68 Comments

  1. Patrick Cadour dit :
    24/10/2012 à 07:21

    Tu as raison, il y a des tragédies qui se trament dans l’ombre, et qu’on n’apprendrait jamais sans le talent d’enquêtrices telles que toi.

    Hier soir à la maison, c’étaient linguine à la poutargue, copieusement arrosés d’anisette, à la tunisienne, si bien que j’ai très moyennement envie de bonbons ce matin, mais si j’en croise, je t’avertis tout de suite !

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      24/10/2012 à 10:50

      Merci Patrick, j’ai quelques adresses à Paris mais si tu en as d’autres à me donner, je suis preneuse !
      Et les linguine à la poutargue et à l’anisette, ça m’intrigue beaucoup, ça fait vraiment « pastis » dans mon imaginaire pour le coup, au sens local du mélange incroyable, presque de la potion magique.

      Répondre
      • barriere dit :
        21/04/2014 à 18:19

        Merci pour ce petit reportage sur la disparition de mes chers bonbons à l’anis savez vous ce que sont devenus les bonbons jaune tendre de la marque Beco ou Becco que l’on trouvait dans les epiceries de mon enfance ? alors oui ce sont peut-être des bonbons de « vieux mais j’aime ces bonbons de « vieux  » ils sont au moins aussi bons que les machins plastifiés à base de gélatine de porc de toutes les couleurs que l’on trouve aujourd’hui , insipides et sans interêt. Je vous informe que je trouve quand même des « pommes d’amour » à l’anis comme avant eh oui encore un bonbon de « vieux »!! merci encore

        Répondre
        • Camille Oger dit :
          21/04/2014 à 20:00

          Je suis 100 % d’accord avec vous, vive le bonbon de vieux ! Et surtout, mort à tous ces machins bourrés d’acide citrique qui prolifèrent dans les rayons confiserie… Je n’ai malheureusement pas connu la marque Becco, mais il s’est passé quelque chose depuis la rédaction de cet article, il y a bientôt trois ans : les bonbons à l’anis Casino dont je parle ont disparu eux aussi ! C’étaient pourtant les derniers rescapés du bonbon à l’anis original. On trouve toujours des pois au lard, des Vichy à l’anis (distribués par certaines enseignes seulement) et des bonbons cuits au chaudron (marque Comme Autrefois je crois) qui pètent les dents, mais c’est tout. Je rêve justement d’un bonbon tendre à l’anis, mais impossible d’en dénicher en France. Il est possible en revanche d’en trouver en Italie paraît-il, à vérifier…

          Quant aux pommes d’amour à l’anis, je ne connais pas ! Le caramel est aromatisé ?

          Répondre
  2. pascal ordonneau dit :
    24/10/2012 à 09:23

    Encore Camille, encore et encore,
    bravo pour ce tour du monde en continu des saveurs…
    Bien amicalement

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      24/10/2012 à 10:56

      Encore Pascal, encore et encore,
      un grand merci pour vos lectures patientes ! Je suis chez moi dans le sud de la France en ce moment et c’est fou comme, après l’Asie et Paris, tout me paraît exotique ici et me donne envie d’écrire…

      Répondre
  3. jeanne dit :
    25/10/2012 à 18:58

    Alors les pois au lard au goût d’anisette…. je connaissais pas!! c’est fou ça. Tu m’en ramèneras?

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      25/10/2012 à 19:13

      Oui oui oui et je vais aller faire un tour en Italie bientôt, s’il y a des trucs de là-bas que tu aimes en particulier, dis moi… Enfin je dis ça comme si c’était évident mais en fait je ne suis même pas sûre que tu sois déjà allée en Italie.

      Répondre
      • jeanne dit :
        05/12/2012 à 19:30

        mmmh siiii! Qu’est-ce qu’on y mange bien!

        Répondre
  4. Epices & Moi / Lyne dit :
    03/11/2012 à 09:31

    Merci pour ce partage d’information, un article très intéressant pour moi qui aime jouer avec les saveurs et ces ceuci ne font pas exception !
    Ce soir, un velouté de potimarron à la badiane justement ….
    Un bon week-end !

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      03/11/2012 à 10:47

      J’adore ce type d’accord, comme la carotte et les graines de fenouil, ça marche à tous les coups. J’attends ta recette !

      Répondre
  5. tiuscha dit :
    01/12/2012 à 09:51

    On trouve ces saveurs anisées dans le berlingot de Carpentras (le vert, le rouge étant paradoxalement à la menthe : http://saveurpassion.over-blog.com/article-le-berlingot-de-carpentras-reportage-pour-petits-et-grands-gourmands-60075221.html ), J’ai converti mes filles aux bonbons de vieux, même si elle mange aussi des gélifiés et qu’elles mangent plus le rouleau réglissé qu’elle ne suce le bâton… Elles adorent les bêtises de Cambrai, les violettes de Toulouse, les berlingots donc (nous sommes dans le Vaucluse, alors on suce local !), il y a aussi cet étrange bonbon, mélange de menthe et de réglisse qu’on mangeait enfant, bonbon mou dont le nom m’échappe…

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      01/12/2012 à 11:17

      Oui ! Merci pour ce lien ! J’ai fait des photos très similaires pour un prochain article sur le berlingot, mais à l’autre bout de la France, en Normandie. Et là, le code couleur est encore différent… D’ailleurs n’est-ce pas un truc d’Anglais de dire que la menthe est rouge ?
      Je suis ravie de voir que les petits d’aujourd’hui apprécient les bonbons à l’ancienne, avec un peu de chance on va exhumer des douceurs oubliées un de ces quatre, ma mère me parle parfois de trucs inconnus de ma génération, comme les boîtes de coco.
      Pour le bonbon menthe-réglisse, s’agit-il du Krema Regliss’ Mint ? Le parallélépipède rectangle tendre à rayures horizontales noires et blanches ? Je l’aime beaucoup, sa texture est double, la menthe étant plus fondante que la réglisse qui colle aux dents. Il est encore présent dans tous les commerces ou presque mais je n’ai pas vu quelqu’un en acheter depuis des années – sera-t-il le prochain à disparaître ?

      Répondre
    • noisynutt dit :
      21/11/2013 à 10:57

      réglisse menthe, c’était les Batna. On retrouve le souvenir de ce goût dans les Mentos à la réglisse…

      Répondre
      • Camille Oger dit :
        21/11/2013 à 11:00

        Les Batna, qui existent encore, sont en réalité à la réglisse et à l’anis :) Réglisse-menthe, ce sont les Kréma Régliss’ Mint qui sont zébrés noir et blanc…

        Répondre
        • STAELEN dit :
          02/07/2015 à 19:30

          Bonsoir.
          Où trouver les bonbons Kréma Zébre ?
          Cordialement

          Répondre
          • Camille Oger dit :
            02/07/2015 à 20:57

            On les trouve partout, ou du moins dans la plupart des grandes surfaces (Monoprix, Carrefour, E. Leclerc etc). Ils s’appelaient autrefois Regliss’Mint. Mais ils ont récemment changé de nom et de recette (je n’ai pas goûté cette version) : https://www.frenchclick.co.uk/images/product/medium/1011.jpg

  6. Marie-Christine dit :
    09/12/2012 à 13:18

    Merci pour ce bel article.

    Ah les bonbons a l’anis, j’en mangeais quand j’étais petite, et je pense souvent a ceux que vous décrivez plus haut : pois lardons anis.

    Qu’est-ce que j’aimais ces bonbons !!! J’en achetais souvent et ils n’étaient pas chers du tout. Aujourd’hui on n’en trouve plus et c’est regrettable.

    Pour ce qui est des bonbons réglisse-menthe il y en a dans le magasin ou je travaille. Il m’arrive d’en acheter. j’aime beaucoup ce mélange.

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      09/12/2012 à 13:23

      Mon secret pour trouver des pois au lard : internet ! On peut en commander en ligne, c’est bien là le seul moyen d’en acheter à un prix raisonnable.

      Répondre
      • Catherine dit :
        16/12/2012 à 11:51

        Bonjour
        Nous cherchons des informations sur l’origine de bonbons anciens : Framboise acidulé , salade de fruit givrées , tranche d’orange et citron et pois et lard
        Pouvez vous nous aidez
        merci
        C.Busatto

        Répondre
        • Camille Oger dit :
          16/12/2012 à 14:43

          Quand vous demandez l’origine, que voulez-vous dire exactemement ? Le lieu de production, le nom du producteur, le lieu de vente ? Chacun de ces bonbons a une histoire bien distincte, vous devriez pouvoir trouver des informations sur le net en les cherchant un par un.
          Pour ce qui est des pois au lard, figurez-vous que les infos sont très pauvres. J’ai trouvé quelques noms de fabricants mais rien de plus : pas de date, un lieu de production assez vague, bref, la recherche a été laborieuse. Vous aurez certainement plus de chance avec les autres bonbons. En même temps, comme il ne s’agit pas de marques déposées, l’information est souvent diffuse et extrêmement difficile à appréhender et synthétiser…

          Répondre
  7. Christelle dit :
    16/12/2012 à 13:43

    Affreuse nouvelle, les « vrais » anis, quasi-identiques aux menthe claire n’existent bel et bien plus du tout…Arrrgh ! J’espérais encore avoir mal cherché…Le choc donc…
    Et je me souviens de bonbons mous (genre Pimouss’ que je ne trouve plus non plus d’ailleurs…), de marque Anis Berger, l’emballage était jaune. Sûre et certaine que c’était vendu en supermarchés en 1995, après je n’en ai jamais retrouvé, ils étaient pas mal, moins addictifs à mon goût que les « anis clair » mais le goût était bon. Quid ??
    Et merci pour l’article, je me sens moins seule 😉

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      16/12/2012 à 14:36

      Rah, je ne connais pas du tout les espèces de Pimouss’ à l’anis, ça m’intrigue… Ce qui m’étonne, c’est qu’il n’y a absolument auncune trace sur internet de ces bonbons du passé. Je ne peux même pas trouver des images ou informations, si pauvres soient-elles, sur ces confiseries disparues. Sur les sites des fabricants, rien, on fait comme si ça n’avait jamais existé, sur les blogs, les forums etc, personne n’en fait mention… Pourquoi cette amnésie collective ?
      Bref, merci à vous de contribuer à mon effort de mémoire !

      Répondre
  8. mathiere dit :
    25/12/2012 à 23:02

    A Saint Jean de Luz, dans une rue qui part de la rue Gambetta vers la plage, il y a un magasin, à l’enseigne d’un pirate, dont l’interieur est rempli de tonneaux de …bonbecks. Dont ces fameux petits pois au lard qui m’ont fait un tres vieux flash dans mon cortex archaique. Je pense que ces bonbons etait anterieurs aux carambars, malabars, et bien sur fraise tagada, il y a 50 ans ???? j’ai des photos des bonbons si vous voulez.

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      25/12/2012 à 23:19

      J’en ai également déniché à Cannes, rue Meynadier, le vendeur est adorable, et à Paris près de la gare de Lyon, bref, c’est la preuve qu’on peut en trouver si on veut vraiment (du moins à Saint Jean de Luz, Cannes et Paris) ! Je n’ai pas réussi à trouver de date de création pour ces pois au lard par contre, mais d’après les témoignages de plusieurs personnes, ils remonteraient au moins à une cinquantaine d’années effectivement. Je vous souhaite une bonne cure gourmande et de joyeuses fêtes !

      Répondre
  9. nicole dit :
    29/12/2012 à 22:06

    Je me souviens de mes vacances enfantines chez mes grands parents en Côte d’or, lorsque ceux-ci m’offraient à chaque séjour ces fameux bonbons à l’anis de Flavigny. Je vis en Provence mais à chaque voyage en Bourgogne je ramène ma provision pour l’année.

    Répondre
    • maamyno dit :
      25/01/2015 à 13:30

      nous trouvons chez nous en Vaucluse des boites flavigny chez truffaud et chez botanic .

      Répondre
  10. doudoune dit :
    02/04/2013 à 23:17

    Un petit coup de nostalgie ce soir et me suis mise à chercher …des sucettes à l’anis ! Il faut que je me fasse une raison : on n’en trouve plus hélas !!…Ce coup de nostalgie remonte à mon enfance :pendant cinq années(8 à 13ans ), vacances à l’ile de Bréhat ,camping un peu sauvage dans les pins prés de la citadelle ou étaient logées des familles .On allait chercher de l’eau à la pompe de la citadelle dans « la vache à eau « ,et on allait au bourg à pieds faire les provisions mais quel bonheur de revenir en suçant nos sucettes à l’anis Pierrot Gourmand !!!Quel stock j’ai pu manger ???Beaucoup c’est sur !C’etait le début des « malabar « mais rien à faire pour moi c’etait :sucettes à l’anis ….Bon j’ai 60 ans aujourd’hui et j’ai encore le gout à la bouche et ne le retrouverai jamais hélas !!!pourtant simple comme produit et naturel et bien NON c’est fini,fini,fini…comme Capri slow de ma jeunesse mais les sucettes à l’anis pour moi rien à voir avec celles de france Gall, elles étaient les sucettes de mon enfance !! snif…

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      02/04/2013 à 23:31

      Dans certaines confiseries artisanales, j’en trouve encore, mais ce sont de gros berlingots, rien à voir avec les Pierrot Gourmand…qui ont bel et bien disparu sans laisser de traces. Quelque part, ça me fait très plaisir de voir que je ne suis pas la seule à regretter toutes ces confiseries anisées ! Chacun y va de son petit bout de souvenir, nous partageons des bribes de différentes époques, différents lieux, c’est un joli partage.

      Répondre
  11. Julie dit :
    14/05/2013 à 11:01

    Ce blog est juste génial…On a plein de points communs: la gastronomie, la Côte d’Azur, l’amour du Japon… et c’est pourtant grâce aux pois au lard que je t’ai trouvé :) haha [d’ailleurs j’en ai acheté l’autre jour au marché du cours saleya.. mais bon comme tu disais, à un prix incroyable (3€ les 100g je crois)]

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      27/07/2013 à 20:06

      Merci Julie, je vois que je n’avais pas répondu à ton commentaire ! Ce qui me tue avec les pois au lard, c’est contrairement aux autres bonbons, ce n’est pas si peu cher si on les achète en gros sur Internet. La production est tellement réduite que ça coûte cher quel que soit le point de vente.

      Répondre
      • maamyno dit :
        25/01/2015 à 13:32

        les pois au lard que l’on trouve aujourd’hui n’ont pas le même gout que ceux des années 60-70

        Répondre
  12. allison dit :
    27/07/2013 à 16:44

    Les gens disent que c’est un bonbon de vieux et moins j’ai treize ans j’en ai mangé quand j’étais petite et maintenant j’en cherche désespérément et pas moyens d’en trouver.
    J’ai juste trouver du sirop à l’anis.

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      27/07/2013 à 20:04

      On en trouve chez Casino. Soit des bonbons durs à sucer, soit des pastilles Vichy à l’anis… C’est à peu près tout ce qu’il reste à part les anis de Flavigny.

      Répondre
      • DESTACAMP dit :
        30/04/2014 à 16:21

        Et Encore tous les magasins CASINO n’en ont pas. J’ai de grandes difficultés pour en trouver. Pourtant c’est le bonbon idéal pour favoriser la digestion et éviter les ballonnements. Plus pratique qu’une fiole d’anisette ou de pastis dans le sac à main !

        Répondre
        • Camille Oger dit :
          30/04/2014 à 20:30

          Héhéhé, c’est sûr, ça passe mieux pour l’Alcotest…

          Répondre
  13. débo dit :
    28/08/2013 à 07:42

    les petits pois au lard, on les trouve a moins d’1€ les 100g sur valgourmand. c’est mon péché mignon, j’en achète par kilos lol

    Répondre
  14. greco dit :
    14/09/2013 à 15:32

    J’ai toujours aimé les bonbons à l’anis hélas disparus complètement sauf les dragees FLAVIGNY que justement je viens d’acheter la petite boîte ovale (3 €) il y a quelques jours sur l’autoroute du sud au niveau de Dijon. Surprise en degustant la dragée : tout au début tout à fait normal puis le goût s’estompe peu à peu pour laisser la place à un goût légèrement citronné ! oú sont passées les anciennes dragées à l’anis Flavigny ??? C’est tout simplement de l’arnaque !

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      14/09/2013 à 22:56

      Je suis d’accord avec vous, les boîtes des dragées Flavigny au citron, à la violette etc sont si peu différentes des originales à l’anis pur qu’il est inévitable de se faire avoir au moins une fois… Et le prix est si prohibitif qu’on le digère d’autant moins facilement. Enfin, les mélanges anis-citron, anis-violette, anis-pamplemousse ou encore anis-rose ne sont, en tous cas à mon avis, vraiment pas des réussites…. L’anis marche bien tout seul, je ne comprends pas pourquoi en rajouter, c’est plutôt mauvais.

      Répondre
  15. Odile dit :
    01/10/2013 à 18:12

    Bonjour j’ai découvert ce site après avoir dégusté de la glace au durian en Birmanie…. Mais cela est une autre histoire !
    En matière de bonbons, je menais l’enquête sur l’anis moi aussi depuis plusieurs mois, au grand dam de mon mari qui me voit revenir de la caisse de la station d’autoroute avec le sachet de 500 g de Flavigny. Les sucettes anis chez Barnier aussi ont disparues. C’était un de mes petits plaisirs en passant à la boulangerie.
    Il y avait aussi les Batna, mous et marrons, gout caramel réglisse, que mes soeurs se disputaient pendant que je tortillais les Regliss’Mint jusqu’à obtenir une jolie spirale noire et blanche ! cela nous occupait pendant les voyages en voiture.

    Répondre
  16. Emmanuel Dufour dit :
    17/10/2013 à 14:01

    Bonjour
    Je viens de lancer un nouveau bonbon a l’anis dont vous pouvez voir la présentation ici : http://anispur.com
    Envoyez moi votre adresse postale a info arobasse anispur.com pour recevoir un echantillon gratuit (sans conditions ni obligation de quoi que ce soit, ni formulairea remplir)

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      21/10/2013 à 15:53

      Oh, merci Emmanuel, je serais ravie de goûter vos bonbons mais cela va être un peu compliqué, car je suis en ce moment en Thaïlande et je bouge sans arrêt – dans quelques semaines je serai aux Philippines, puis au Japon etc… Difficile donc de me faire parvenir quoi que ce soit dans les mois à venir :(

      Répondre
  17. Lagousse dit :
    05/12/2013 à 00:18

    Il me semble que vous oubliez les bonbons « fisherman’s friend qui existent en version menthol Anis…mais ne sont pas seulement à l’anis!

    Répondre
  18. delph' dit :
    14/07/2014 à 18:20

    AH les bonbons a l’anis c’est un vrai régal! depuis toute petite j’en mange grâce a mon père qui est accro. C’est vrai que c’est dommage qu’ils disparaissent si vite :( . j’ai trouvé des petits pois au lard sur Montélimar eh ca m’a rendu un peu nostalgique (j’en mangeais chez ma grand mère) du coup je suis tombée sur cet article en cherchant ces fameux pois sur internet et je dois avouer que je ne m’étais jamais vraiment rendu compte de leur disparition jusque là. Pour info j’ai trouvé sur un site des petits pois reconditionnés a 6€ le kilo à peine! je vais passer commande pour voir(ca s’appelle marlie confiserie je crois) . Sinon, pour les amateurs d’anis il y a une boisson parfaite pour ce rafraîchir l’été c’est l’Ordinaire, c’est une sorte de limonade a l’anis fabriquée en Guadeloupe et c’est delicieux , on en trouve dans les épiceries exotiques la plus part du temps et certain Auchan aussi 😀

    Répondre
  19. Vince dit :
    09/08/2014 à 14:41

    De passage à Vichy, j’ai acheté un sachet de 1kg de pastilles à l’anis, tant leur parfum m’avait saisi en marchant devant les vitrines des nombreuses confiseries du centre ville. Un régal, avalé en moins de 2 semaines, et qui me vaut ce détour sur votre blog.

    Mais mon pêché mignon, ce sont les guimauves à l’anis, vous savez ces lanières de différents parfums qu’on trouve dans certaines confiseries. Elles ont le parfum de mon enfance à Montpellier, qui abritait plusieurs réglisseries : Deleuze, Chabernac, Auzier… Auzier-Chabernac continue à les fabriquer. Miamm !

    Répondre
  20. Bobdesol dit :
    13/10/2014 à 21:57

    Un bonbon délicieux et qui selon moi remplace avantageusement les bonbons a l’anis de la pie qui chante, ce sont les »niniches » de quiberon. Il en existe des dizaines de parfum, mais celles a l’anis sont absolument délicieuse ! A essayer. on en trouve sur des marchands en ligne

    Répondre
  21. TOULET Paul dit :
    01/12/2014 à 09:54

    Je suis preneur si quelqu’un peut me transmettre les adresses où l’on trouves des bonbons à l’anis de mon enfance. Il y avait aussi des bonbons à l’anis fabriqué par Berger, qui étaient excellents. Je recherche surtout les acidulés à l’anis transparent. Merci d’avance

    Répondre
  22. TOULET Paul dit :
    01/12/2014 à 09:56

    Quelqu’un peut-il me transmettre les adresses des vendeurs de boinbons à l’anis? Merci d’avance

    Répondre
  23. Dufay dit :
    05/01/2015 à 07:00

    je souhaiterais relancer les activités de confiseries BECCO, je recherche tous renseignements à ce sujet, documents, usines, savoir-faire, recettes, anciens salariés, anciens dirigeants, je suis sur limoges et je rêve de regoûter aux confiseries BECCO – 06 46 89 75 66 Bernard Dufay

    Répondre
  24. Kitt dit :
    11/01/2015 à 22:11

    Super article répondant à mes interrogations au dela de mes expectations…
    Je pensais simplement à ceux de la Pie qui change…
    Les avais je révé ? Article rassurant aussi car je craignais le pure genre trop longtemps mis en vente ces poisons mortels ont été retires de la vente… Mais il n’y aura pas de rémission pour les contaminés aux sucreries d’anis.

    Répondre
  25. marika dit :
    12/06/2015 à 05:06

    dur-dur- casino de rennes, un des deux seuls (avec un leclerc) dans toute l’agglomération qui faisait encore les vichy anis vient d’arrêter- sauf que je ne peux m’en passer !!! je fais comment ? j’écume les sites mais pas grand chose et surtout très cher sans compter les frais de ports

    Répondre
  26. Steven dit :
    01/09/2015 à 22:41

    Marika,

    Mauvaise nouvelle Vichy a stoppé la production des pastilles à l’anis, je suis dégoûté j’y étais accro, j’ai même pas eu le temps de faire mon stock, ils l’ont retiré du marché.
    J’ai écrit un mail sur leur site internet et voici leur réponse :

    Madame, Monsieur,

    Nous vous remercions pour votre message nous informant que vous ne trouvez plus la référence anis dans votre magasin.

    Nous somme tout à fait désolés du désagrément subi mais ce parfum a été arrêté par décision du Groupe Mondelez car les ventes étaient en chute libre.

    Nous conservons votre courrier dans nos archives car cette décision pourrait être remise en question si nous recevions un très grand nombre de réclamations.

    En attendant et à ce jour, nous ne pouvons que vous orienter vers nos saveurs menthe ou citron, vendues en grande distribution.

    Souhaitant avoir répondu à votre demande,

    Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, nos salutations distinguées.

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      01/09/2015 à 22:45

      Oh nooooon
      C’est une hécatombe…
      Merci Steven pour l’info !

      Répondre
  27. Stéf Desmaret dit :
    01/12/2015 à 22:33

    Quand j’habitais à la Réunion, les paquets de bonbons à l’Anis Casino étaient systématiquement dans mon chariot accompagnés de ceux de Fruitador de Lutti.
    Aujourd’hui, quand j’y retourne en vacances, je cours au Jumbo Score du coin (le Casino réunionnais) pour m’acheter ces 2 types de bonbons introuvables ici en métropole. Le pire est que quand je repars, je complète le poids autorisé des bagages en soute par le maximum de paquets de ces bonbons et pour moitié de chaque.

    Depuis que je suis revenu en Alsace, j’achètes de temps en temps les bonbons à l’anis de fabrication artisanale tel que ceux des confiseries Bressaude ou des Htes Vosges à Plainfaing. On trouve leurs produits dans l’un des deux Leclerc de Sélestat. Faut-il encore pour moi avoir l’envie de faire 65 km aller-retour pour espérer trouver 3 ou 4 paquets de ces bonbons…Je ne parle même pas d’aller faire une virée dans les Vosges !

    Bref vous l’avez compris, s’acheter des bonbons à l’anis devient soit une chasse au trésor soit un luxe. Les pastilles de Flavigny coûtent une fortune, les bonbons artisanaux sont entre 12 et 14 € le kilo.

    Je me permets de vous conseiller les paquets de 150g ou 300g de la confiserie bressaude sur leur site internet (30€ minimum d’achat + 7€ de frais de port quand même !). Ce sont ceux que j’appréciais tant quand je travaillais à Sélestat. Je n’ai jamais mangé de meilleurs bonbons à l’anis

    Pour l’instant, je me contente le plus souvent des Stoptou de la Pie qui chante. Le goût de l’anis est, je trouve, plus soutenu que celui du réglisse (je raffole tout autant du réglisse ceci dit).

    PS si quelqu’un sait où trouver des Fruitador (orange/citron) dans la région Strasbourg-Obernai-Sélestat, je suis preneur. Merci

    Répondre
  28. Daisy dit :
    10/12/2015 à 19:57

    Nous pensions être les seuls à déplorer la disparition des pastilles Vichy Anis. Suite au message de Steven, je vais, de ce pas, adresser un courriel à l’Etablissement.

    Répondre
    • Camille Oger dit :
      10/12/2015 à 20:10

      Non seulement les fans d’anis sont nombreux (j’en fais d’ailleurs partie), mais ils sont réellement touchés par la disparition – de plus en plus systématique – des quelques références qui restent sur le marché… On le voit aux différents commentaires laissés sur ce papier, certains sont prêts à parcourir des kilomètres pour trouver ces précieux bonbons. Difficile donc de comprendre pourquoi les confiseries à l’anis ne se vendent pas, d’après ce qu’en disent les fabricants.

      Répondre
  29. Evelyne ROCHETEAU dit :
    16/12/2015 à 15:09

    Je n’arrive toujours pas à croire que les bonbons à l’anis aient presque disparus! Je viens de faire le tour des boutiques alimentaires bio et autres de ma proche région, sans succès. Je confis donc à la toile ma recherche, et quelle n’est pas ma surprise de découvrir que nous sommes un certain nombre à regretter la quasi-disparition de ces bonbons….
    Merci à celles et ceux, qui nostalgiques comme moi, mais mieux informés, ont laissé les coordonnées de quelques artisans….

    Répondre
  30. carlyne dit :
    26/12/2015 à 19:30

    Bon ben tout comme vous je cherche désespérément des bonbons à l’anis …. je cherche sur Toulouse et Carcassonne et quedal…. j’ai goûté les pois au lard mais je n’aime pas trop ….
    Je vais continuer les recherches sait on jamais…. 😉

    Répondre
  31. Frédéric dit :
    27/01/2016 à 18:27

    Ha, ces bonbons à l’anis ! Je suis en état de manque…
    Une adresse : la confiserie Manuel à la Baule pour sa niniche à l’anis. Pile le goût de ma madeleine…
    Bravo pour cette belle page

    Répondre
  32. Véronique dit :
    25/04/2016 à 09:08

    Bonjour
    Moi aussi cela fait des mois que je cherche partout des bonbons à l’anis du même genre que ceux de la Pie qui chante. J’ai trouvé un site de confiserie en ligne qui vend ceux de la marque belge Trefin, similaires à la Pie qui chante (bonbons transparents verts clairs). Sachets de 200g. Le site est belge : http://www.sweetshop.be, tapez dans le moteur de recherche : Trefin anise (oui anise avec e :-) ! ).
    J’espère que cela va aider les adeptes de l’anis dont je fais partie, ah les petits pois lardons que maman nous rapportait dans un sachet en papier blanc !
    Bonne journée !

    Répondre
    • durand dit :
      05/11/2016 à 00:11

      Merci pour ces précieuses infos Véronique !

      Répondre
  33. sophie dit :
    23/06/2016 à 20:48

    qu’ils me manquent, les carambars à l’anis des années 70, dans leur emballage vert…. et aussi ces bonbons tendres, vendus à la même époque en station service, emballés dans un papier jaune et qui étaient estampillés d’une marque d’alcool (anis berger !)

    Répondre
  34. Chantal dit :
    14/12/2016 à 17:08

    Bonjour,
    Je suis contente d’être tombée sur vous. Cela fait des années que je cherche des bonbons à l’anis et le pourquoi de leur disparition. Les derniers que j’ai mangé je les avais trouvé chez Casino à Fécamp il y a au moins 8 ans. Il existe effectivement des petits pois aux lardons en vente en ligne. J’ai écrit à la Pie qui chante pour leur demander ce qu’il en était. Ils m’ont envoyé des tickets de réduction mais ils ne m’ont pas répondu quant à la disparition des bonbons à l’anis. Les bonbons à l’anis genre « pimousse » j’ai connu aussi. Ils étaient fondants mais il y a belle lurette qu’il n’y en a plus aussi. C’est vraiment dommage pour nous. Ils nous encore les gommes (j’adore !) mais pour combien de temps.

    Répondre
    • Durand-Just dit :
      19/04/2017 à 12:59

      Je trouve encore dans une confiserie de st etienne des petits sachets de graines d’anis enveloppées dans du sucre : petites graines roses et blanches que j’adorais quand j’étais enfant (j’ai 60 ans). Mes petits enfants adorent également. Par contre je ne trouve plus les pastilles Vichy à l’anis sauf sur internet mais avec les frais de port ça revient cher

      Répondre
  35. Danielle dit :
    31/01/2017 à 23:59

    Moi ce sont les pates grises Auzier Chabernac que je ne trouve plus dans les magasins a part a Montpellier dans leur fabrique. Elles peuvent etre achetees sur internet a leur site mais comme je demeure aux Etats Unis, le port est plus cher que les pates grises elles meme. Comme l’anis, la reglisse disparait petit a petit. Les bonbons reglisse au U.S sont infectes!!
    Pour les boules a l’anis, l’Espagne est la ou elles se trouvent, elles sont plus grosses que les Flavigny mais autrement identiques au gout.

    Répondre
  36. Margaret dit :
    06/04/2017 à 15:51

    Bonjour
    Je recherche des ptits bonbons à la menthe ronds et bi couleurs blanc rouge ou blanc bleu
    Si vous connaissez faites le moi savoir
    Cordialement

    Répondre
  37. mzelle dit :
    20/04/2017 à 16:09

    Oui, c’est une vraie tristesse. Cela fait des années que je cherche après les bonbons à l’anis vert transparents comme les menthe claire. Je trouve ça triste, je suis dingue de réglisse et d’anis et ces bonbons me manquent vraiment beaucoup !

    Répondre
  38. Ausane dit :
    05/08/2017 à 22:43

    Il reste encore les berlingots à l’anis, et notamment ceux fabriqué à Cauterets. Il me semble même que les delices de cauterets ont un site et vous expedient leur production. Mais quel dommage que la pie qui chante ait cessé sa fabrication!

    Répondre

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